- Hausse des parts de marché des vins italiens et rhodaniens par rapport à la semaine précédente.
- Atteinte d’un nouveau record pour le Sassicaia 2016
- Les sorties de vins fins en septembre
- Pleins feux sur… le Château Palmer
La semaine dernière, après une période d’activité stagnante en milieu de mois, la croissance du marché des vins fins a repris à la fois en valeur et en volume. Alors que la part de marché du Bordeaux a reculé pour se situer à 43,7 %, le Liv-ex 50, l’indice qui suit les fluctuations tarifaires des Premiers Crus, a de nouveau enregistré une performance positive avec +0,4 %. Les parts de marché de la Champagne et de l’Italie ont profité de l’inertie du marché pour atteindre respectivement 10,1 % et 18,1 % de la valeur totale des échanges.
Du côté des États-Unis et du Rhône, les parts de marché sont également à la hausse. La part de marché de la Bourgogne a, quant à elle, reculé pour rester tout de même sur une valeur solide avec 19,2 % du total.
Le Sassicaia 2016 a connu une belle activité cette semaine. Lors de la dernière vente, il s’est négocié 2 387 £ les 12 bouteilles de 75 cL, une nouvelle valeur record après une augmentation de 88 % par rapport au prix de sortie.
Les autres vins les plus vendus de la semaine sont des champagnes. Ruinart, Cristal 2006 et Belle Époque 2008 comptent ensemble pour la moitié des ventes réalisées par les vins de la région.
Cinq sorties à ne pas manquer prévues pour le mois prochain
Chaque année en septembre, La Place de Bordeaux organise la mise sur le marché de certains des vins les plus attendus du Rhône, d’Italie et du Reste du monde. Le mois prochain, les amateurs de vins fins et les collectionneurs attendront impatiemment les sorties des millésimes 2016 de Masseto, Solaia et Opus One, ainsi que celles des millésimes 2017 de Seña et Beaucastel Hommage J Perrin. Pour en savoir plus sur la performance de ces marques sur le marché et pour découvrir ce que dit la critique au sujet de ces sorties, cliquez ici
Pleins feux sur… le Château Palmer
Le Palmer 2018 s’est révélé être plus qu’une simple « prouesse de la nature » (AG, Vinous). Malgré de petits volumes de production et un prix supérieur à celui de tous les autres vins du Château, le millésime 2018 est apparemment très demandé. Les stocks seraient même déjà épuisés. Mais ce n’est pas uniquement le dernier millésime en date qui fait la force de la marque Palmer. La semaine dernière, afin d’évaluer la force de la marque, nous avons examiné la performance du Château Palmer sur la dernière décennie et étudié la corrélation entre les prix de marché actuels de ses différents millésimes et les notes des critiques. Lisez notre article Pleins feux sur… le Château Palmer pour découvrir l’influence que l’histoire et une volonté constante de bien faire ont eue sur son potentiel d’investissement.
[mc4wp_form id=”18204″]
